Aujourd’hui le divorce à l’amiable représente la moitié des séparations. Le premier atout et non le moindre reste que ce divorce par consentement mutuel ne nécessite aucun juge et donc, il est plus rapide. Une période de réflexion de 15 jours est imposée entre la réception de la convention et la signature des deux époux. Il est donc possible de divorcer dans un délai d’un mois à un mois et demi, vous pourrez aussi être accompagné par un avocat.
Bien moins onéreux
Depuis le 1er janvier 2017, le divorce par consentement mutuel s’effectue sauf exception devant un notaire. Les époux conseillés par leurs avocats respectifs sont ainsi plus libres dans l’élaboration du contenu du divorce.
- Les époux vont organiser sans contrôle devant un juge toutes les modalités de la séparation et de ses effets.
- Cela nécessite une excellente collaboration et évite bien des conflits et apporte une bien meilleure gestion après divorce.
- L’intimité du couple est préservée. Le notaire se charge de l’enregistrement de la convention et l’avocat de sa rédaction.
- Les époux divorcent sans exposer leur vie privée.
Choisi par une majorité de couples
C’est un divorce facile, rapide et peu coûteux. Il suffit simplement que les deux époux soient d’accord sur les effets du divorce (domicile, enfants, patrimoine, pension alimentaire). Selon une étude du ministère de la Justice, ce divorce représenterait 52,5% des séparations prononcées. Les époux peuvent faire appel à un seul avocat afin de simplifier davantage la procédure. Une seule comparution devant le juge est nécessaire, la démarche peut être alourdie si le patrimoine est conséquent. Le processus peut être facilité si les époux décident d’un accord commun de terminer leur engagement mutuel. Éviter un procès et tous les tracas qui en incombent est une bonne chose lorsque l’on veut divorcer. Cette période difficile, pourquoi la rendre davantage énergivore ? Pourquoi se compliquer la vie quand on peut divorcer à l’amiable ?